Aussi, notre pro­jet a pour but de fédérer des pro­fes­sion­nels du développe­ment social et générer des parte­nar­i­ats entre acteurs de la vie locale : par­ti­c­uliers, asso­ci­a­tions (dans les domaines social, édu­catif, cul­turel), pro­fes­sion­nels et usagers du ser­vice public.

Les Cabarets sont des temps de ren­con­tre et d’expression col­lec­tive stim­ulés par la représen­ta­tion théâ­trale. Élaborés et organ­isés en parte­nar­iat avec des struc­tures et acteurs locaux, ils ont pour objec­tifs : l’accès à la cul­ture, le lien social, la citoyen­neté et la par­tic­i­pa­tion à la vie publique, ainsi que la lutte con­tre les discriminations.

Lut­ter con­tre l’exclusion : créer du lien social au sein d’un quartier, favoriser les ren­con­tres intergénéra­tionnelles, favoriser l’accès à la cul­ture et au spec­ta­cle, provo­quer l’échange d’expérience et de points de vue entre habi­tants, stim­uler la prise de parole en pub­lic entre habi­tants et pro­fes­sion­nels grâce au con­texte “neu­tre” du Cabaret pour s’entendre.

Etablir les con­di­tions d’une dis­cus­sion con­struc­tive autour d’un thème défini : traiter de thèmes sen­si­bles qui con­cer­nent la pop­u­la­tion : en con­cer­ta­tion avec les ser­vices munic­i­paux parte­naires, les parte­naires asso­ci­at­ifs, et les par­tic­i­pants de ren­con­tres précé­dentes, trans­met­tre des infor­ma­tions sur le fonc­tion­nement de la vie locale et citoyenne, l’accès aux soins, aux droits, les pôles ressources etc., con­stru­ire une dis­cus­sion sur le mode col­lec­tif (encadrée par un médi­a­teur), sus­citer la prise de respon­s­abil­ités au sein de la vie locale.

Etablir un réseau de parte­naires : met­tre en œuvre les cabarets avec des parte­naires privés et publics, dans une répar­ti­tion des tâches ten­ant compte des com­pé­tences de cha­cun, met­tre en rela­tion nos parte­naires dans un objec­tif de con­struc­tion de réseau.

Nos publics cibles sont des per­son­nes issues de pop­u­la­tions frag­ilisées de tous âges :

• per­son­nes âgées en sit­u­a­tion d’isolement social
• « jeunes »
• pop­u­la­tions primo arrivantes
• per­son­nes sans emploi, Rmistes, en dif­fi­culté de reconversion
• per­son­nes con­nais­sant des sit­u­a­tions de con­flit (voisi­nage, rela­tions parents-enfants-enseignants, vie pro­fes­sion­nelle, con­ju­gale, etc.)
• familles pré­carisées et/ou monoparentales

mais aussi des acteurs locaux :

• bénév­oles associatifs
• pro­fes­sion­nels d’association et insti­tu­tions (social, édu­catif, culturel)