Kabar Gem­bira (2006)

Créa­tion col­lec­tive avec en alter­nance: Sébastien Rabbé, Olivier Richard et Tapa Sudana

En parte­nar­iat avec la CMCAS (CE d’EDF), Plaine Com­mune Habi­tat, le Sec­ours Pop­u­laire, Par­en­thèque, des cen­tres d’animation…

Pour réus­sir une séance du Kabar Gem­bira (ou heureuse nou­velle en Bali­nais), il faut les ingré­di­ents suivants:

Des con­tes de sagesse du monde: ni réc­its véridiques, ni fables moral­istes, ces his­toires ont l’art de nous éton­ner, de nous émer­veiller. Elles témoignent aussi d’un goût du para­doxe, manient une ironie bien­veil­lante, qui sus­ci­tent en nous, la réflex­ion, voire la con­tem­pla­tion, un regard amusé et curieux sur notre exis­tence et les facéties du destin.

Des per­son­nages hauts en couleurs, pour une comédie des car­ac­tères, servie par un dis­posi­tif sug­ges­tif où les dis­ci­plines artis­tiques (conte,musique, chant, masque, mar­i­on­nette) sont invitées à servir l’histoire.

Une ren­con­tre entre acteurs et spec­ta­teurs, à l’occasion d’un spec­ta­cle vivant et inter­ac­tif, où les his­toires invi­tent à un chem­ine­ment partagé, con­vivial et fes­tif, où tous les âges sont pris en compte, et qui débouchent selon le désir des par­tic­i­pants et les pos­si­bil­ités de l’espace, sur des ate­liers inter-générationnels de mise en pra­tique (masque, pliage, chant, mar­i­on­nette, fab­ri­ca­tion d’instruments…).

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